Ce samedi dernier, le Théatre Corona était bondé d’amateurs de garage rock pour recevoir plusieurs groupes de la relève associés à cette scène musicale ainsi qu’un groupe présent depuis le retour en force du garage rock au début du 21eme siècle, Kaiser Chiefs.
Munis d’une décadence décontractée, Public Acces T.V. assure un départ explosif pour ce spectacle. Ce groupe de New York joue un style garage rock d’un minimalisme qui tire sa force d’une attitude punk prononcée. Leurs pièces autant rythmées que directes s’enchaînent sans relâche avec une fierté absolue pour le mouvement underground et la vie urbaine. Public Access T.V. annonce la sortie d’un EP prochainement pour faire suite à Rebound sorti en 2014.
Munis d’un ton plus calme avec un abandon total comparable, Palma Violets prennent contrôle de la scène. Le son de ce groupe britannique est la personnification même de l’ambiance des tavernes aux heures précédent le last call. Ceci rappelant vaguement l’approche du groupe The Stokes, leur chanteur Samuel Fryer fredonnant d’une ivresse vocale similaire. Leur approche musicale autant indie que garage supportés du jeu de clavier de Jeffrey Mayhew touche certaines mélodies dignes d’un pub irlandais et la foule savoure chaque instant. Venus en support de leur nouveau matériel figurant sur Danger In The Club, ils ont également sorti l’album 180 en 2013.
L’ambiance vire au charme au son de la formation Priory d’Oregon. Jouant un style electropop alternant entre des saveurs parfois reggae et eurodance, le chanteur Brandon Rush dit à ses spectateurs combien ils sont sexy avant de leur offrir des tonalités qui font danser tous et chacun. Une joie éclatante déborde de leurs chansons, un trio d’harmonies vocales et des accords de guitare insistants supporte la fondation fournie par le DJ et le batteur: Le premier disque éponyme de ce groupe fut lancé en 2011, suivi du EP Weekend en 2014.
Impatients d’entendre ce groupe culte, la salle se remplit au moment où Kaisers Chiefs décide de prendre la scène. Le chanteur Ricky Wilson la prend en effet, et capture l’attention d’une main de fer. Voici un homme de scène de haut niveau qui s’abandonne avec pur plaisir au détriment de son pied de micro qu’il lance dans tout les sens. Ne croyez pas que les autres membres du groupe sont moins épatants par contre, ils jouent avec brio et la touche du batteur est formidable en force et complexité. Répondant aux signes du groupe, la foule se sépare tel les eaux devant Moïse pour se rejoindre violemment dans une danse pogo effrénée. Ce groupe sorti vers la fin du mouvement garage rock des années 2000 reçoit le support absolu de leurs partisans qui connaissent par cœur les paroles de leurs chansons, telles que I Predict A Riot et Ruby. Leur discographie est active depuis 2005 et Kaiser Chiefs y ajoute l’album Education, Education, Education & War sorti l’an passé.
Aux pièces finales inondés d’applaudissements, les jeux sont faits et ces quatre formations ont fait leur travail de prouver qu’il y a encore un souffle de vie dans la simplicité et le danger qui fait l’essence même du rock. La foi est toujours vivante.
Munis d’une décadence décontractée, Public Acces T.V. assure un départ explosif pour ce spectacle. Ce groupe de New York joue un style garage rock d’un minimalisme qui tire sa force d’une attitude punk prononcée. Leurs pièces autant rythmées que directes s’enchaînent sans relâche avec une fierté absolue pour le mouvement underground et la vie urbaine. Public Access T.V. annonce la sortie d’un EP prochainement pour faire suite à Rebound sorti en 2014.
Munis d’un ton plus calme avec un abandon total comparable, Palma Violets prennent contrôle de la scène. Le son de ce groupe britannique est la personnification même de l’ambiance des tavernes aux heures précédent le last call. Ceci rappelant vaguement l’approche du groupe The Stokes, leur chanteur Samuel Fryer fredonnant d’une ivresse vocale similaire. Leur approche musicale autant indie que garage supportés du jeu de clavier de Jeffrey Mayhew touche certaines mélodies dignes d’un pub irlandais et la foule savoure chaque instant. Venus en support de leur nouveau matériel figurant sur Danger In The Club, ils ont également sorti l’album 180 en 2013.
L’ambiance vire au charme au son de la formation Priory d’Oregon. Jouant un style electropop alternant entre des saveurs parfois reggae et eurodance, le chanteur Brandon Rush dit à ses spectateurs combien ils sont sexy avant de leur offrir des tonalités qui font danser tous et chacun. Une joie éclatante déborde de leurs chansons, un trio d’harmonies vocales et des accords de guitare insistants supporte la fondation fournie par le DJ et le batteur: Le premier disque éponyme de ce groupe fut lancé en 2011, suivi du EP Weekend en 2014.
Impatients d’entendre ce groupe culte, la salle se remplit au moment où Kaisers Chiefs décide de prendre la scène. Le chanteur Ricky Wilson la prend en effet, et capture l’attention d’une main de fer. Voici un homme de scène de haut niveau qui s’abandonne avec pur plaisir au détriment de son pied de micro qu’il lance dans tout les sens. Ne croyez pas que les autres membres du groupe sont moins épatants par contre, ils jouent avec brio et la touche du batteur est formidable en force et complexité. Répondant aux signes du groupe, la foule se sépare tel les eaux devant Moïse pour se rejoindre violemment dans une danse pogo effrénée. Ce groupe sorti vers la fin du mouvement garage rock des années 2000 reçoit le support absolu de leurs partisans qui connaissent par cœur les paroles de leurs chansons, telles que I Predict A Riot et Ruby. Leur discographie est active depuis 2005 et Kaiser Chiefs y ajoute l’album Education, Education, Education & War sorti l’an passé.
Aux pièces finales inondés d’applaudissements, les jeux sont faits et ces quatre formations ont fait leur travail de prouver qu’il y a encore un souffle de vie dans la simplicité et le danger qui fait l’essence même du rock. La foi est toujours vivante.